Écrivain dans l’âme ? (vous genez pas pour poster)

Les gens qui écrive dite moi se que vous en penser =) bon j'ai une légère dyslexie par contre...


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D’où je suis je vous vois vous êtes tous entrain de pleuré sur mon sort. Tout est de ma fautes moi qui penser être si fort. Je vais vous raconter mon histoire en espérant qu'elle reste dans vos mémoire. Elle dure un mois,le temps de ma descente au enfer, le temps qu'il ma fallut pour tout perdre 1 mois.

J'ai 17 ans on est le premier février mes parent m'annonce qu'il divorce. Je vais devoirs suivre mon père quitter ma mère c'est pas facile. Moi qui avait besoin de sa force. La raison de cette séparation m'est encore obscure mais quand je demande a mon père il me répond c'est trop dur, donc je la ferme, j'accepte. Voila une nouvelle page de ma vie. Nouveau lycée, Nouvelle ville mais pas de nouveau ami. J’atterris dans un lycée Zep moi qui sort d'une école privé catholique le choc est dur et mon intégration chaotique. Il me regarde bizarrement dans leur yeux je suis différent, par ce que j'ai pas la même éducation, il me regarde d'une autre façons. A la récré tout le monde sort pour fumer. Je suis pas habituer mais je veut me faire accepter. Tout le monde parle de fumette. Je reste a l'écart et en fait je me sens trop bête

6 Février

Je me surprend a tiré ma première latte ma gorge s'enflamme, ce n'est pas grave j'en tire une deuxième et d'en leur sourire je comprend qu'en fumant il m'aime. Alors c'est partie je m’achète des paquet de clope pour continuer a me faire des pote et maintenant je fait presque partie de leur bande.Oui je fume mais que de la cigarette.

13 Février

Je suis a une soirée ou je gagne leur amitié mais ou je perd la tête. Il me propose du shit et dans l'implant de la fête moi comme un idiot j'accepte. Début de la déchéance. Je me met bien et je kiff sa qui aurait cru il y a 2 semaine que j'en arriverai la.

Le lendemain (14 Février)

Je récupère tant bien que mal. Je veut encore fumer donc je vole de l'argent a mon père et je commence a acheter. Je fume un Join par jours mais sa me suffit pas je commence a en devenir dépendant. Je multiplie ma consommation par trois. Je vais a beaucoup de soiré ou on passe notre temps a déliré sur rien par ce qu'on est complètement péter, mais en plus de la drogue je me met aussi a boire, c'est plus marrant de mélanger les deux et ouai j'ai changer vous avait qu'a regarder mes yeux.

19 Février

Je suis rentré dans un cercle vicieux je fait pus que acheter je met met aussi a vendre. Je pense pus qu'a la drogue et mes notes a l'école commencent a descendre. Dans la drogue je trouve mon refuge, dans mon cœur c'est le déluge. Je noie mes malheur dans l'alcool en vérité je me suis mit ma propre camisole. Je sais plus se que je veut. J'ai plus d’objectif. J'ai quitter le chemin de croix. Je suis un fugitif. Je me renferme sur moi même je suis plu expressif. Je fais pas de sport je suis devenu complètement inactif. C'est de la drogue qui coule dans mes veine. Je prend plu soin de moi. Je fait de la peine et je me demande pourquoi je dit oui a tout se qu'on me propose. Je fait plus la différence entre le mal et le bien. J'ai plus goût a rien. Jours et nuit je pense au Damien et quand j'y pense pas c'est par ce que j'ai des troue dans la tête a force de boire n'importe quoi. Je ne suis plus moi même quand je touche a sa. C'est la même chose a chaque fois dans mon cœur, il fait noir la drogue a voler ma personnaliser, quand je me regarde dans un miroirs, je me vois toujours entrain de fumer, entrain de péter les plombs. Je sais pas ou je vais. La drogue ma tout prit même mon envie d'aimer

26 Février

Mon père rentre du travail et me vois en train de rouler un énième joins avec lui je m'esquiver depuis trois semaine. Mais cette fois je suis aller trop loin. Il me dit que je pars en sucette. Je lui répond que c'est a cause de lui, je ne voulais pas quitter maman, je voulais pas d'une nouvelle vie. Le ton monte. Je ne contrôle pus mes réaction et dans mes parole je constate que j'ai vraiment toucher le fond, je m'emporte et le frappe au visage cette fois le bonheur a fait ces bagage et moi je me barre en dehors du monde de la raison. Je n'ai même pus la force de poser des question. Je vais errer dans la ville. Je repense a mon père le shit a détruit ma tendresse. Je m'exprime que lorsque je me met en colère. J'en est marre de cette vie. Je veut oublier. Tout recommencer a zéro. Tout effacer. Je veut changer, retrouver mon passer. Toute ma tête ma conscience est partie, il n'en reste que des miette et je traîne dans le parc pendant que la tristesse n’embarque et je m'allonge sur un banc en espérant me réveiller de se cauchemars, mais je m'endors dans la nuit noir en pensant qu'il n'est jamais trop tard

27 Février

Je rentre cher moi déterminer a tout arrêter. Je veut embrasser mon père et me faire pardonner de l’avoir frapper. Ma tête sous ma capuche, les mains dans les poche j’accélère le pas . La maison est s'y proche. Je traverse une rue et je tourne la tête a droite pendant que camion déboule a ma gauche.

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je t'ai appeler mon amours tu ma jamais répondu depuis se jours la j'ai quitter le chemin de l’amour trop tordu depuis se jours la sans toi ma boussole je me sens perdu j'ai penser qu'on aurai pus j'ai penser qu'on aurait due mais je tes perdu dans le labyrinthe de notre passion je suis devenu sourd j'ai pas écouter tout les attention on m'avait prévenu de faire gaffe a qui je donner mais mon cœur mais quand j'ai vue ton beau sourire je penser pas faire d'erreur et je savais bien que t'aimer était une folie du genre essayer de comprendre l'humain en une seule vie de toute façons cette terre est un grand asile ou l’amour est une maladie infantile tout comme notre vie nos sentiment s'usent et j'ai du mal a trouver les mots comme t'avait du mal a me trouver des excuse qui est le fautif personne ne le sais je reste pensif enfaîte on se détruisez. J'ai passer trop de temps a courir après toi. Aujourd'hui c'est le temps qui m'éloigne de toi. Je n'est plus aucun remord a ton égard quelqu'un te remplacera un jours tôt ou tard. Entre nous ce n’était qu'une histoire d'amours et malgré tout se mot la ne rime pas avec toujours. Personne na jamais vue le vent mais tout le monde sais qu'il souffle personne na jamais vue mon cœur tes la seule a savoir qu'il souffre. Dit moi j'ai mal au cœur est-ce la faute a cupidon ou la faute a tes grand yeux qui me demande pardon. Je t'ai trop aimer je m'en rend bien compte aujourd'hui dans ta vie je suis le laisser pour compte mais je m'enfiche moi je veux t'oublier et le fleuve qui n’arrêtera pas de couler ne peut que m'aider. Pourtant tout était si beau comme a chaque début d'histoire tout ces jolie mots qu'on s’échanger sur le banc de l'espoir la suite de l'histoire est plus noir et c’était a prévoir tu restera dans ma mémoire comme ma salle gueule dans le miroir. Il faut que je te remercie pour tout se que tu ne ma pas apporter entre peine et haine j'ai jamais sus coi penser tu m'as fait reculer alors que je voulais avancer mais j'y croyez a notre romance je te le jure tu ma fait tourner dans tout les sens jusqu’à l’usure. C'est dur de se dire que la sincérité n’était pas toujours la alors qu'on se répéter sans cesse je serai toujours la. Le monde était jaloux du bonheur que je te donner sans prétention tu comprendra peut être un jours que je t'aimer. On ne se rend pas compte de la chance qu'on avait. Je reste idiot par ce que je comprenais pas se qui m'arriver. On c'est voiler la face jusqu'à ne pus voir qui on était.Tien prend un balais nettoie le passer.

J'aime beaucoup. Tu arrives à faire ressentir les émotions à travers ton texte, et c'est quelque chose de très bien, moi aussi je fais de textes du genre, et c'est quelque chose de compliqué. GG à toi

merci aigaion la seule chose a savoir cest que dans se genre de texte c'est toujours la vie de lentourage ou la vie de celui qui la ecrit qui la amener a ecrire sa

Je sais, puisque c'est ce qui m'a poussé à écrire les miens. Et bizarrement, les textes reflètent toujours plus ou moins les pensée et les douleurs de l'auteur.

Je t'avais fais une jolie réponse avec des citations de ton texte pour mettre en valeur mes remarques. J'ai perdu alors je réécris de manière plus brute. Ne t'offusque pas.

Il manque de la description dans ton texte. A quoi ressemble les lieux ? les personnes qui t'entourent ? Quel sont les sentiments que les personnages ressentent ?

Je ne fume pas. Alors ça me parait aberrant de devenir accros en 1 semaine voir moins.

Le lendemain (14 Février)

Je récupère tant bien que mal. Je veut encore fumer donc je vole de l'argent a mon père et je commence a acheter. Je fume un Join par jours mais sa me suffit pas je commence a en devenir dépendant

Il manque un passage important dans cette spirale. Le moment ou tu décides de changer pour d’intégrer le groupe. Mais on n'a pas la réaction de ton entourage face à ta chute. Tes sois disant ami réagissent comment ?

Mais bordel, tu t'enfonces dans l'enfer de la drogue à un moment. Puisque tu te mets à la revente. Et le dire en une phrase c'est trop facile.

Par contre mes petits yeux méchants se sont mis a picoter lors de la confrontation avec le père. Là aussi j'aurai aimé un peu plus de développement. C'est la meilleur partie pour moi. (mais 4-5 lignes.... c'est court)


Ahaha et le pire pour la fin :

t'ai appeler mon amours tu ma jamais répondu depuis se jours la j'ai quitter le chemin de l’amour trop tordu depuis se jours la sans toi ma boussole je me sens perdu j'ai penser qu'on aurai pus j'ai penser qu'on aurait due mais je tes perdu dans le labyrinthe de notre passion je suis devenu sourd j'ai pas écouter tout les attention on m'avait prévenu de faire gaffe a qui je donner mais mon cœur mais quand j'ai vue ton beau sourire je penser pas faire d'erreur et je savais bien que t'aimer était une folie du genre essayer de comprendre l'humain en une seule vie de toute façons cette terre est un grand asile ou l’amour est une maladie infantile tout comme notre vie nos sentiment s'usent et j'ai du mal a trouver les mots comme t'avait du mal a me trouver des excuse qui est le fautif personne ne le sais je reste pensif enfaîte on se détruisez.

Je suis d'accord pour que tu accorde un moment de philosophie à la fin de ta nouvelle. Mais tes phrases sont trop longuuuuuues. Et les mots se répètent.

Et pour finir. RELIS TOI. peaufine ton texte. Ne sois pas radin avec les mots ( développe +). Et Écris nous une grande histoire =)

Pour Cait :
Ce n'est pas décrie car cette histoire est tiré d'un ami a moi qui a déménager...et le reste de l'histoire est expliqué